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Découvrir la nature avec nos yeux d’expert.e.s

Parce que tu te demandes qu’est-ce qui se passe dans un cocon de papillon, comment se forme une tornade et comment les plantes communiquent... L'équipe de naturalistes de GUEPE a décidé de répondre à toutes tes questions, car la nature, ce n’est pas un mystère, c’est une science! Un.e naturaliste c’est quoi? En gros, c’est un.e spécialiste dont la mission première est de vulgariser les différentes sciences de la nature.

Chaque mois, on te présente une vedette, animale, végétale ou autre (oui, oui!), en plus des sujets préférés de nos naturalistes. Reste donc bien connecté.e. On va répondre aux questions de notre lectorat (incluant les tiennes) et on va aussi te proposer des places à visiter, des actions à poser, des trucs à voir et à lire. 

On te souhaite une bonne exploration de la nature!

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La corneille : smart cookie

On profite des derniers moments avant le retour des oiseaux migrateurs pour célébrer un oiseau qui non seulement n’a pas peur de l’hiver, mais qui est pas mal plus intelligent que tu le penses : la corneille d'Amérique.

Alors que la majorité de nos oiseaux ont levé les voiles vers le sud en novembre dernier, on profite des derniers moments avant leur retour pour célébrer un oiseau qui non seulement n’a pas peur de l’hiver, mais qui est pas mal plus intelligent que tu le penses. Et, on doit l’avouer, on a un crush pour sa magnifique robe noire qui brille dans le soleil. Non ce n’est pas un aigle noir, mais il pourrait tournoyer près de toi, dans un bruissement d’ailes comme tombé du ciel. C’est la corneille, qu’on trouve super sharp.

Une corneille (◕ヮ◕) *:・゚✧

Tout le monde peut reconnaître son look, mais aussi son très délicat croassement. #lol Elle doit probablement cette notoriété au fait qu’on la voit partout. La corneille d’Amérique est un oiseau cosmopolite en Amérique du Nord. Ça, ça veut dire qu’on la trouve dans un grand nombre d’habitats*, autant les milieux ouverts, que boisés, en ville, sur les côtes. Cette variété signifie que c’est aussi un animal qui a une capacité d’adaptation très grande (un peu comme le raton laveur). D’ailleurs, son régime omnivore et opportuniste (si ça se mange, la corneille risque d’en prendre une part…) facilite la dispersion des populations.

On en profite ici pour démystifier leur réputation d’oiseau de malheur… Certaines personnes, on les nommera pas, associent la corneille avec la mort, les sorcières et les mauvaises intentions. La raison est simple. As-tu déjà vu 4-5 corneilles snacker sur un animal mort sur le bord de la route? Probablement. Elles faisaient la même chose pendant les guerres après les combats. On les a donc associées à la mort et à des comportements pas très élégants. #gottaeat C’est ça, l’opportunisme.


On a le kick sur la corneille, parce qu’elle a de la classe, oui, mais aussi parce que c’est définitivement le couteau le plus aiguisé du tiroir à ustensiles. C’est pas rare d’entendre les chercheurs comparer l’intelligence des corneilles à celle des primates. Elles sont capables d’utiliser des outils comme des morceaux de bois pour obtenir de la nourriture. On a observé certains individus jeter des pierres en vol pour défendre leur territoire. Elles sont capable de modifier des outils pour les rendre plus performants**. Pour un oiseau, c’est définitivement hors normes. Elles jouent. Elles sont d’excellentes imitatrices et elles ont un répertoire de cris impressionnant. Elles sont capable de faire des liens de cause à effet (certains humains ont de la misère à faire ça, on les nommera pas…). Et les corneilles ont aussi une mémoire phénoménale qui leur permet de reconnaître leurs consœurs et même des visages humains!

Cette mémoire est probablement le résultat de leur vie grégaire. Oui, les corneilles vivent en groupe. Elles ont mis sur pied un système de coopération intergénérationnel. Elles forment des groupes familiaux super efficaces. Le noyau est formé par les parents, qui sont appariés pour la vie (on pourrait aussi dire monogames). Les autres membres de la gang, ce sont les jeunes des années précédentes. On parle de groupe d’une quinzaine d’individus. Tout le monde participe à la fabrication du nid***, à l’élevage des petits et à la défense du territoire. Puis, quand l’hiver arrive, les familles se rassemblent et passent la saison en méga-gang pouvant comporter des milliers d’individus. #laviesecretedescorneilles On appelle ces groupes des dortoirs.

En finissant, shout-out à cet excellent clip de Deep Look (oui, c’est en anglais) sur l’apprentissage social des corneilles. Petit avertissement, c’est un peu creepy par moment, mais c’est très éclairant sur la capacité des corneilles à reconnaître des situations, à imiter leurs pairs et apprendre par la vie de groupe.

NOTES

* On la trouve partout en Amérique du Nord, à l’exception de la côte ouest du Canada où la corneille d’Alaska (plus petite) règne en maître. Et il faut ajouter que notre corneille cosmopolite ne trippe pas sur les déserts… quoique même là, on peut en voir.

** Au Japon, cette population de corneilles a développé une technique bien spéciale pour ouvrir des noix. Une vidéo à voir!

*** Le nid de la corneille d’Amérique est en fait une grosse plate-forme de branches sur laquelle on trouve un coupe tapissée de mousse et de brins d’herbe. Pour le confort! Ces plate-formes sont souvent réutilisées par d’autres oiseaux comme les éperviers, les buses et certains hiboux, et même par des écureuils ou des ratons laveurs.

Par Anne-Frédérique, éducatrice-naturaliste

Source image : Dick Daniels

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Question du public
Corbeau vs corneille

Lors de ta prochaine rando, si tu entends un croassement et qu’en levant le yeux tu vois un oiseau noir (c’est probablement pas un aigle noir), c’est peut-être une corneille d’Amérique ou grand corbeau.

« C’est quoi la différence entre un corbeau et une corneille? »

Attention. Lors de ta prochaine rando, si tu entends un croassement et qu’en levant le yeux tu vois un grand oiseau noir (c’est probablement pas un aigle noir), c’est peut-être une corneille d’Amérique, mais ça pourrait aussi bien être un grand corbeau. Voici un petit topo pour savoir les différencier.


Une corneille d’Amérique

Un grand corbeau

Ces deux oiseaux semblables font partie de la famille des corvidés tout comme les geais. Ils ont donc des points en commun, mais quelques différences les séparent. D’abord, le corbeau, en comparaison avec la corneille, est plus grand (presque 2 fois plus). Son bec, parfois à l’extrémité crochue, est plus épais que celui de la corneille qui a un bec est plus effilé. Ses rémiges (les plumes à l’extrémité des ailes)* sont plus longues et il a des plumes un peu fofolles dans le cou. Une fois en vol, on peut encore bien les distinguer: la base de la queue de la corneille est très légèrement arrondie (presque plate), on y voit souvent une encoche dans son centre tandis que celle du corbeau se termine en pointe (avec un arrondi prononcé) comme un diamant.

Même en voyant agir ces deux espèces, on peut voir des différences importantes. Lorsqu’une corneille atterrie, elle a tendance à ébouriffer ses plumes et dodeliner de la tête. Le corbeau est plus stable et préfère l’économie de mouvement. C’est similaire en vol. La corneille bat beaucoup des ailes, le corbeau plane et utilise les courants d’air pour aller à de très hautes altitudes. Une corneille, qui tente de faire fuire un intru en vol, a tendance à plonger sur l’assaillant. Le corbeau escorte l’intru en lui montrant gentiment la sortie, en volant avec lui plutôt que de l’attaquer directement.

Le comportement de la corneille lorsqu’elle est perchée.


Plein de corbeaux! Remarque la différence entre le cri de la corneille et celui du corbeau.


Et leur cri respectif sont loin d’être similaires. La corneille et le corbeau croassent, mais le cri du corbeau est beaucoup plus grave que celui de la corneille. Quand cette dernière cri, elle monte et descend la tête; le corbeau lève légèrement ses ailes.

Alors, ouvre l’oeil. Tu pourrais croiser un oiseau avec des plumes aux couleurs de la nuit.

NOTES

* On te parlais de rémiges quand on t’expliquais comme les ailes des hiboux sont magiques. Fais un tour ici pour voir le schéma d’une aile.

Par Anne-Frédérique, éducatrice-naturaliste

Sources images : Pixabay, JJ Harison, GUEPE

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Du saule arctique au renard arctique

Connais-tu le lien entre le saule arctique et le renard arctique… à part le mot « arctique », bien sûr… Non? Tu vas le découvrir parce qu’on se dirige tout droit vers le nord du Canada!

Connais-tu le lien entre le saule arctique et le renard arctique… à part le mot « arctique », bien sûr… (On a trouvé un lien de plus complexe quand même…) Non? Tu vas le découvrir parce qu’on se dirige tout droit vers le nord du Canada!

On voit des beaux petits saules arctiques, à ras le sol, dans ce merveilleux paysage du Yukon

Quand on entend « saule », on pense le plus souvent au classique saule pleureur (pas celui qui est inconsolable) qu’on observe dans les parcs urbains ou le long des rivières. Mais les saules sont des végétaux très surprenants et on compte plus de 450 espèces dans le monde*, dont 103 espèces en Amérique du Nord**! Il y en a partout et on s’en rend pas compte principalement parce qu’ils sont méconnus. Il y en a des petits, des grands, certains avec une croissance ultra rapide, des envahissants, des poilus, et même, avec des pouvoirs incroyable comme la dépollution de certains métaux lourds!! #mercilessaules

Dans des conditions polaires, le saule arctique est caractérisé par sa taille: il est minuscule. Regarde ça! En effet, les vents forts du nord (accentués par l’absence de haute végétation) fait en sorte que les plantes poussent à ras le sol là-bas. Oui, oui, on te parle d’un arbre, qui pousse couché par terre (un peu comme l’if du Canada). Mais à quoi peut-il servir? Ce saule joue un rôle important dans les écosystèmes nordiques, car il sert notamment de nourrir aux caribous, aux lièvres arctiques, aux bœufs musqués et aux lemmings***.

Parlons du renard arctique… Comme tu le sais, les renard sont principalement carnivores, il ne mange donc pas de saule. (Ce n’est pas ça le mystérieux lien qui les unit.)

Ohhhh…. il est tellement cute!!!

On vois ici son beau pelage hivernal (le renard arctique n’est pas toujours aussi blanc par contre). Son poil est très épais pour conserver sa chaleur et sa blancheur lui permet de se camoufler afin de chasser discrètement (comme les ours polaire). En suivant l’exemple de son cousin roux du sud, le renard arctique fait notamment de mulotage. Il bondit en hauteur et il retombe les pattes en avant, museau d’abord, pour de capturer ses proies. C’est un expert, et ce, toute l’année, même à travers la neige. Il se spécialise entre autre en petits mammifères (souvent des rongeurs) qui font des galeries dans le sol ou la neige… exactement comme les lemmings!

Tu viens de comprendre notre lien?! Le renard arctique se nourrit de lemmings et les lemmings se nourrissent notamment de saule arctique. Un exemple de chaîne trophique dans toute sa splendeur!

NOTES

* Newsholme C. Willows: the genus Salix. Portland: Timber Press; 1992.

** Argus GW. Salix. In: Flora of North America Editorial Committee, editors. Flora of North America, vol. 7:Magnoliophyta: Salicaceae to Brassicaceae. New York: Oxford University Press; 2010. pp. 23–51.

*** Les lemmings sont des p’tits rongeurs qu’on trouve le plus souvent dans les régions arctiques. À peine plus gros qu’une souris, c’est un joueur de premier plan dans le maintien des zones de toundra. Les fluctuations de ses populations dictent la santé de ces écosystèmes. Elles font même voyager les plus affamés.

Sources images : Daniel Case, Pxhere

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La toundra

Étant considérée comme une terre dépourvue de vie, ce vaste biome* cache en son sein une biodiversité abondante et résistante. Il existe trois types de toundras : la toundra alpine, arctique et antarctique.

Étant considérée comme une terre dépourvue de vie (le mot « toundra » voulant d’ailleurs dire « terre stérile »), ce vaste biome* cache en son sein une biodiversité abondante et résistante. Il existe trois types de toundras dans le monde : la toundra alpine, arctique et antarctique. Toutes possèdent des conditions de vie équivalentes. Celle que l’on retrouve au nord du Canada est la toundra arctique. Elle englobe les territoires du Yukon au Nunavut, en encerclant les côtes de la baie d’Hudson, c’est-à-dire le nord du Manitoba jusqu’au nord du Québec, sans oublier le nord du Labrador.

Juste assez sec, juste assez froid

Sans tout de suite te divulguer les informations, je pense que tu as dès lors deviné que le climat là-bas doit être assez difficile et rigoureux. En effet, dans les régions les plus nordiques, le soleil est absent pendant environ 6 mois! Dans la totalité de l’écosystème, les températures sont en moyenne de -34 °C en hiver et maximum 12 °C en été! (Brrrr ça nous réchauffe pas tout ça!)

On dénote aussi très peu de pluie, ce qui rendrait ce biome aussi sec, voire plus que la plupart des déserts du globe. Néanmoins, la fonte des neiges apporte le minimum d’eau nécessaire à la survie des espèces de l’écosystème. Enfin, le vent y souffle assez fort. Toundra, voulant aussi dire « absence d’arbres », la faune et la petite flore se retrouvent donc avec peu de remparts pour y faire face. Cependant, pas de panique! La nature est forte, belle, surprenante et, surtout, elle pense à tout!  

Tout d’abord : la neige! Savais-tu que c’est une super armure contre le vent et le froid? Précisément, le sol de la toundra, recouvert de neige lors de l’hiver, va protéger la flore du sol et certains petits mammifères comme les campagnols ou les lemmings. Ces derniers vont creuser un réseau de tunnels subnivaux, à savoir sous la neige.  

Bien équipé dans la toundra

Pour ce qui est de la grande faune, comme le caribou et le bœuf musqué, ils sont dotés d’une couche de graisse et de poils épaisse. La fourrure de certains sera même blanc comme neige pour pouvoir se cacher des prédateurs. Par exemple, pensons au renard arctique, au lièvre arctique, à l’ours polaire et au loup arctique. Je te vois derrière ton écran te demander si certains des animaux là-bas hibernent ou tombent en sommeil hivernal. (Si à ces mots-là tu te dis : « Ben voyons, je ne comprends pas c’qu’elle me dit là! », je t’invite fortement à lire cet article!

Bref, revenons à nos moutons…) Aucune espèce de la toundra n’hiberne (à l’exception d’un micro mammifère**). D’ailleurs, les animaux qui y vivent doivent rester actifs, car à de telles températures, rester inactif entrainerait une mort certaine.

Pour ce qui est des végétaux et champignons, c’est au printemps qu’ils vont renaître grâce à la fonte des neiges. La neige fondue va se transformer en petits ruisseaux, lacs, et d’autres points d’eaux. Cela crée alors un réseau de milieux humides. Le milieu, qui sera alors gorgé de soleil (24 heures d’ensoleillement) et approvisionné en eau, va être propice à la croissance de mousses, de carex, de lichens et de bien d’autres espèces. C’est alors que le désert blanc de neige se transforme en un magnifique tableau coloré

NOTES

* Un biome, c’est une « Vaste région biogéographique s’étendant sous un même climat, comme la toundra, la forêt tropicale humide, la savane ou encore le récif corallien. (les principaux biomes sont la toundra, la forêt tempérée, la forêt tropicale et équatoriale, la forêt boréale, la savane, la mangrove, la prairie tempérée, le désert, les eaux fluviales, les eaux saumâtres, le littoral, les récifs coralliens, les herbiers marin, les abysses.) »

** Le seul qui en serait capable est le spermophile arctique (un petit mammifère, un mélange entre une mini- marmotte et un écureuil).  

Par Lou, éducatrice-naturaliste

Sources images : GUEPE, Anita Ritenour, Hannes Grobe

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Quoi faire?
Quoi faire cet hiver?

Si tu ne migres pas, n’hibernes pas et que tu ne tombes pas en sommeil hivernal, tu fais quoi cet hiver? Tu peux être actif et profiter des bienfaits de l’hiver!

Nous pouvons migrer, soit voyager plus au sud dans les contrées plus chaudes où l’absence de neige favorise l’accès à la nourriture de nos amis, les oiseaux migrateurs. Mais, aller sur les plages chaudes est une option très spéciale et pas toujours réaliste (ou bonne pour l’environnement). Tu peux hiberner comme la marmotte. Et tu peux également dormir profondément tout l’hiver sans tomber en hibernation, comme un raton laveur… Quoique, à bien y penser, les humains n’en sont pas vraiment capables. Il faudrait rester dans son lit des mois. Pas sûr que ça te tente, par exemple! Si tu ne migres pas, n’hibernes pas et que tu ne tombes pas en sommeil hivernal, tu fais quoi cet hiver? Tu peux être actif et profiter des bienfaits de l’hiver!

Plein d’options s’offrent à toi!

Contrairement aux animaux, nous avons l’occasion de faire plein d’activités différentes et variées. Nous pouvons décider de faire tout le contraire d’une journée à l’autre!

Pouvoir jouer dans la neige est une des chances que nous avons en Amérique du Nord. Nous avons à portée de bons vêtements et, surtout, une superbe diversité de sports d’hiver et d’activités de plein air. Parfois, certaines activités sont dispendieuses. En étant créatif, il y a moyen d’en baisser les coûts et d’avoir une journée parfaitement réussie. Et penses à la récompense! Après une bonne journée dehors, une soirée bien reposante autour d’un feu et d’un bon repas chaud est vraiment satisfaisante.  

Dans les parcs-nature de Montréal et certains parcs urbains, GUEPE offre la location d’équipement hivernal pour t’aider dans ton hivernation active. Que ce soit du ski de fond, de la raquette et même de la luge, il y a de tout, pour tous. (En plus, les locations de skis et de raquettes dans les parcs-nature sont gratuites pour les moins de 17 ans.) Par exemple, aux parcs Joseph-Paré et du Pélican du quartier Rosemont, il y a du prêt d’équipement de neige, comme des trottinettes des neiges et des patins à glace. C’est similaire au parc Raimbault. Si tu vas au pavillon d’accueil du Parcours Gouin, il y a même des fatbikes!

De plus, je suis certain qu’il y a un centre de prêt multisports près de chez toi, peu importe où tu résides. Tu peux aussi aller dans un petit centre de sports pour trouver tous ces équipements à rabais en dehors de la saison froide. Les équipements d’hiver peuvent durer plusieurs années, à condition de les utiliser et d’en prendre soin.

Quoi d’autre?

Le choix de randonnées hivernales que tu peux faire est grand, à travers le Québec! Et imagines les heures de plaisir que tu auras si tu décides d’aller dévaler les pentes en glissant!

Si un jour tu as plutôt envie de rester bien confortablement au chaud dans ta maison à regarder la télé, profites-en! Il n’y a rien de mal à être bien douillet à écouter de la musique, des audioguides, à faire de l’art ou bien à cuisiner pour tout le quartier, incluant tes naturalistes préférés. #miam

Et toi, quelle est ta stratégie pour passer l’hiver?

Penses-tu pouvoir nous envoyer tes suggestions d’activités vraiment spéciales que tu fais en hiver? Pour ma part, j’aime bien faire du patin à glace en faisant de l’escalade sur les sept plus belles chutes d’eau glacées, tout en mangeant une crème glacée, en promenant mon chat. Ouais, un peu difficile, mais très spécial!

De l’imagination, c’est tout ce qu’il te faut pour passer l’hiver. Un banc de neige? = Un château! Un stationnement? = Une patinoire! Une cour d’école? = Un parcours géant!

Par François-Vivier, éducateur-naturaliste

Sources images : PxHere, GUEPE

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