Plonge dans ton divan
Pour souligner la Journée mondiale de l’eau, parce qu’au Québec on en est les champions et pour te divertir pendant ta quarantaine, on te propose notre top 3 des films sur cette ressource merveilleuse et précieuse : l’eau. Alors, plonge dans ton divan, c’est l’heure du cinéma!!
Chasing Coral
Ce film suit l’expédition du photographe américain James Balog, qui capture des images (non pas des glaciers, comme dans son méga succès Chasing Ice, mais bien) du corail, un animal aquatique hors du commun qui est bien malmené. Des récifs entiers, magnifiques qui disparaissent à vu d’oeil… On a droit ici à des images spectaculaires et surprenantes de la disparition du corail, de parfaits témoins de l’impact que nous avons sur nos océans.
Chasing Coral est disponible sur Netflix.
Le fleuve aux grandes eaux
Ce film d’animation hors du commun s’inscrit dans notre patrimoine cinématographique comme un gant. Le réalisateur et illustrateur Frédéric Back présente le fleuve Saint-Laurent dans toute sa splendeur, son histoire et sa tragédie. De la mer de Champlain, jusqu’au déversement des eaux usées, des voyageurs autochtones jusqu’aux usines de pâtes et papier, rien n’est laissé de côté pour souligner les pressions que le Saint-Laurent, notre joyaux, ne l’oublions pas, subit. À voir absolument.
Disponible sur ici en 3 parties.
Maiden
C’est un documentaire, mais aussi une aventure, où l’on suit l’infatigable et téméraire Tracy Edwards, la première femme (avec un équipage entièrement féminin, à bord du Maiden) à entreprendre la périlleuse course autour du monde en voilier, la fameuse Whitbread Round the World (aujourd’hui la Ocean Race), en 1989. Une histoire haute en rebondissements qui présente un visage intéressant du féminisme de l’époque, mais aussi qui met en scène l’eau dans le rôle de soutien, avec ses tempêtes monstrueuse et ses « calmes plats ». Une heure inspirante, très, très bien invertie.
Maiden est disponible sur Crave.
Sans oublier Mission Blue (disponible sur Netflix), ce documentaire de choix, qu’on a déjà proposé, sur l’océanographe Sylvia A. Earle, gentiment surnommée « Her Deepness ».
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